lundi 26 septembre 2011

Koh Lanta en direct de la Grande Motte

Aloha : 
Essai du SUP ( Stand Up Paddle ) Tropical Blends 11’9 ,
En premier, prendre mon vélo, récupérer au passage mon copain Coréen Myung Cheon  place de la Comédie et faire tirer jusqu’à la Grande Motte, où le début des essais peut commencer.
Surprise de mon copain quand je  lui montre,  que si j’ai mangé du chien à Séoul , je mange aussi les crabes qu’il fait cuire, comme les moules et les huîtres,donc “crus “.
Pour le reste, vous pouvez visionner notre parcours vélo soit avec l’application RunTastic , soit Endomondo ( ) et voir le sheep et la magnifique finition bambou de cette Board.



samedi 17 septembre 2011

Découverte ...Epreuve d’Auteur en sculpture


                         Cette découverte commence pour moi par une belle rencontre, un bon repas en famille accompagné de quelques verres d’excellent vin dans une demeure de Sacy le Petit chez mon cousin par alliance Louis.
Il y a quelques années, j’ai donc eu la chance de commencer mon approche de la sculpture sur bronze avec un maître Français dans celle-ci : Louis LUTZ.

 Nous avions disserté tardivement sur la définition de l’Art en parcourant ses amitiés, Cézar (sculpteur) et son doigt, Weisbuch .
Ensuite, découverte pour moi , il me fit découvrir son Atelier, son antre créative et me porta sur le chemin de l’alchimie créative, en premier des esquisses pour trouver la forme, l’équilibre, la position... parfois la terre glaise et ensuite Louis se transforme en Merlin l’enchanteur et en alchimiste, il me parla de polymérisation de résines, des fonderies Christofle, desquelles venaient de sortir ses dernières créations et, devant mon émerveillement certain et ma peur de toucher ses oeuvres qui m’ont bouleversé à jamais, il me mis entre les mains un de ses bronzes (EA LUTZ ) la puissance et le poids de cette posture me portèrent à lui demaner : vends la moi … Louis, dans sa générosité, me dit “ alors seulement au prix sortie fonderie “.


Et voilà mon premier contact et découverte émerveillée du monde de la sculture. Cette EA nous a suivi dès lors dans tous nos déménagements et épreuves de vie, et , lors de la mort de mon fils Julien, je prenais comme aujourd’hui cette sculpture dans mes mains et ses formes, sa symbolique me rassurait, car ce geste d’amour et d’accouplement d’écorchés vifs de la vie me rassurait sur la lourdeur des liens d’amour ; ce moment d’extase suprême peut nous entraîner vers des joies, mais malheureusement des douleurs insoupçonnées.

Plus d'informations :

Sur l'artiste  ArtActif ou  Galerie  Marie de Mange Interview par  Corrèze Télévision

Sur l'épreuve d'Auteur :
Les oeuvres reproductibles (multiples) signées doivent l’être en quantités limitées ; elles ont un numéro d’exemplaire au sein du tirage, par exemple : 6/20.
Pour l’artiste comme pour le collectionneur, une gestion modérée et honnête s’impose de ce nombre d’exemplaires, qui caractérise l’oeuvre multiple. Tirer au-delà de 100 sort du raisonnable, on sort de l’art pour entrer dans le "collector"... certains avancent que la duplication non contrôlée est un concept "moderne" bien accepté par les jeunes : oui si la baisse des prix suit en proportion, ce qui n’est pas du tout le cas en art.
Cette dérive s’inscrit dans un marketing qui fait passer un gadget pour un "collector" ; ce marketing sert le vendeur, rarement l’acheteur...
Pour les sculptures la technique conditionne la reproduction, par exemple 8 pour un bronzes, 100 pour un plastiques... ; la destruction de l’original (du plâtre ou du moule) peut en garantir l’authenticité, mais qui va vérifier ?
Il vous faut aussi distinguer les fontes d’origine faites sous contrôle de l’artiste de celles faites après son décès, qu’on appelle fontes d’édition, qui peuvent aussi être de bonne qualité lorsqu’elles émanent des moules d’origine (qui n’avait pas été détruit...), mais doivent être moins chères, évidemment.
Enfin, les oeuvres les plus prisées portent une double signature : celle de l’artiste et celle du fondeur (ou au moins son poinçon ou son estampille pour un imprimeur) ; très difficile de faire un faux avec certificat dans ces conditions.
La cote : indication du "prix" d’une oeuvre d’un artiste, obtenue par constat officiel lors de sa dernière vente aux enchères ; c’est donc un cours variable selon la suite des ventes, la santé de l’économie, la trajectoire de l’artiste, le dynamisme de ses représentants et le sens du vent (la mode, son décès, etc).
Par extension on dit qu’un artiste est coté ; mais c’est son oeuvre qui l’est.
Attention : une cote dite "officielle" est le constat objectif des ventes en enchères des oeuvres de l’artiste dansle monde ; donc elle ne concerne que le second marché !
source : http://www.almanart.com 


Estimation en ligne : http://www.akoun.com/compte.asp, il vous en coutera 7€ pour une oeuvre










vendredi 9 septembre 2011

Ebook : Hier soir Frédéric Beigbeder dans l’émission LGL sur la 5.

Son analyse jugée de paranoïa, objet de la discorde : La question de la numérisation des œuvres indisponibles et toujours sous droits, opérée par la firme de Mountain View pour nourrir sa base Google Livres.

La polémique sur la numérisation des livres signerait la fin des librairies.
Sa réflexion : « La disparition du disque devrait quand même nous inciter à réfléchir deux minutes. Il n’y a plus de disquaires. Si dans dix ans il n’y a plus de librairies, je trouve ça très dommage. »
Citations lues sur mon Smartphone « Je préfère être lu que téléchargé. »
Sur la 5 à l’occasion de la sortie de son livre « Premier bilan après l’apocalypse ».

Ma réflexion du matin :  Je pense que son analyse est saine à quelques points prêts:  aujourd’hui, dans le monde de l’édition, “ Les Majors du Livre existent “, donc, certainement plein de frustrations chez tout auteur en herbe (pourquoi pas moi ?).
Devant la multitude de romans,  essais et  mémoires , en plus des éditions à compte d’auteur, maintenant en ligne, je me sens perdu.
Donc,s’il a raison sur le modèle économique en voie de mutation profonde, mon côté écolo est comblé, car moins de papier gaspillé .
J’utilise les ebook ‘s pour découvrir une oeuvre et, si vraiment elle en vaut le coup, pour moi et exclusivement pour moi, car une oeuvre littéraire, c’est comme un tableau ou une oeuvre musicale, elle doit me parler dans mon intimité et là, je suis prêt à acheter du papier et même faire une rencontre avec son auteur ( dédicace s’il fait encore partie du monde des vivants ) .
Pour le reste, je trouve plus pratique de découvrir quelques oeuvres dans le train, en ayant une bibliothèque dans un encombrement minimum et découvrir ou re-découvrir certains auteurs et si je trouve une belle édition, plus rapidement grâce à  internet je l’achète.
Il va y avoir certainement de nouveaux circuits économiques à créer, n’oublions pas que Gutenberg n’a pas fait disparaître les écrivains publics et les scribes et s’est légèrement inspiré des imprimeurs Coréens.

* Mon utilisation de mon samsung TAB en Livre de Poche : Video Youtube 
J’ai même été contacté par des amis pour devenir Editeur de ebooks : je vais vous livrer en vidéo mon chemin d’éditeur, pour mon ami Robert, pour son oeuvre : Le silence du Blaireau.
“ C’est l’histoire banale, celle d’un gamin traumatisé, comme tant d’autres ...Plaidoyer pour les médiocres, les minables, les ratés, les salauds ordinaires” .
Video sur Dailymotion :